La recherche c’est quoi avant tout ? Une question assez vaste qui peut être interprétée de tellement de manières si l’on se fit au dictionnaire et sa définition. Je vous partage la première définition que je trouve, cela donne l’explication suivante :
Recherche (nom féminin)
- Action de rechercher quelque chose ou quelqu’un dont on ignore où il se trouve exactement : La recherche d’un objet perdu.
- Action de chercher à se procurer ce que l’on désire : La recherche de la sécurité.
- Action de chercher à découvrir quelque chose, à parvenir à une connaissance nouvelle : La recherche des causes de l’inflation.
- Ensemble d’études et de travaux menés méthodiquement par un spécialiste et ayant pour objet de faire progresser la connaissance : Des recherches historiques.
- Ensemble des activités auxquelles se livrent les chercheurs : Le budget de la recherche.
- Souci de se distinguer du commun, se manifestant par un raffinement extrême dans les manières, la toilette : Être habillé avec recherche.
Source : LAROUSSE
La définition est claire et donne une direction bien concrète, celle d’explorer et de compléter une connaissance ou action non acquise sur le moment.
La démarche quant à elle n’est pas spécifiée dans la plupart des cas, la recherche n’est pas systématiquement scientifique, voilà un problème qui doit être soulevé…
La grande interrogation est de savoir si la majorité des informations que l’on trouve dans les livres ou les formations diverses sont le résultat de véritables recherches basées sur l’expérimentation ou tout simplement la répétition d’un discours non vérifié ou invérifiable ?
Ne sommes-nous pas dans une tendance copier-coller ?
Les recherches se marient-elles avec l’extraordinaire ou le surnaturel ?
Dans le cas de l’extraordinaire (ce qui sort de l’ordinaire) ou du surnaturel (qui ne s’explique pas par les lois de la nature), la méthodologie serait la même, la reproduction d’ un événement grâce à un protocole.
Le procédé d’investigation peut être très long, mais aussi donner des réponses pouvant briser des fantasmes et provoquer des déceptions. Il arrive de rencontrer des échecs, d’où l’importance de ne pas les négliger. Pour notre part, avec les expérimentations ou essais que nous avons réalisés pour valider les informations énergétiques, nous avons rencontré des échecs et nous sommes heureux de constater que oui, en effet, tout n’est pas tout rose, tout n’est pas facile, bien au contraire.
Il faut prendre son temps, se remettre en question et ne pas avoir peur de se tromper pour recommencer.
Par exemple dans les événements d’expérimentations SE&R nous en sommes arrivés à une triste conclusion, les résultats impliquant des personnes, étaient la plupart du temps biaisés par de faux souvenirs ou des profils orientés.
Il ne faut pas négliger non plus les problèmes psy, qui sont le fardeau des résultats extraordinaires et surnaturels. Cela nous permet aussi de soulever une question très intéressante… un excès de contenu alternatif ne pourrait-il pas provoquer ou favoriser le développement de problèmes psy ?
Ma plus grande surprise est de ne pas concorder avec les techniques alternatives les plus courantes.
Mais pourquoi parlons-nous de tout ça me direz vous ?
Simplement, une grande question me vient sur la véracité de la majorité des résultats de certaines “dites’’ recherches dans le monde énergétique ou les explications sont le plus souvent, une source utilisant des biais liés à l’ancienneté, le don ou l’inexplicable.
Je me promène de temps en temps dans les rayons des librairies et me pose cette question…
Comment des personnes pouvant donner des informations, des techniques et autres tuyaux du monde alternatif, font-elles, pour faire des expérimentations, des consultations, des formations et écrire autant de livres ?
Je ne m’attarde pas sur les autopublications ou pour certains sont le moyen de faire passer un discours tout droit venu de la schizophrénie.
Y a-t-il tromperie sur la source ?
Répètent-elles les informations des autres en changeant simplement les mots ou tournures de phrase ?
Comme dans les définitions de Larousse plus haut, avec ce même mot, un simple individu cherchant des informations dans les rayons de la Fnac, d’une librairie ou sur internet s’identifie quitte à se prendre pour l’expert du domaine concerné.
La centralisation d’informations ne rentre pas dans le cadre de la recherche avec expérimentation et le suivi d’un sujet. Ces personnes ne sont pas éligibles pour donner ses résultats que je qualifie comme un vol, allant même jusqu’à l’usurpation d’idées ou des fondements initiaux.
Cela s’applique également aux protagonistes se servant des informations d’autrui pour créer des formations, ou encore une fois, la légitimité est inexistante… laissons aux experts dans leurs domaines, faire leurs travaux.
Je vous donne un conseil, si la personne n’a pas développé ou créé sa technique elle-même avec un minimum de sérieux avec des résultats d’expérimentations, vous êtes peut-être sur le point de vous faire avoir. Attention au pas cher (souvent le résultat d’un prix fixé sans connaître le travail en amont), à cette personne qui n’a pas investi de temps dans l’étude et les essais pour la réalisation d’une expérimentation dans les règles de l’art. Il est facile de nos jours de copier, s’inspirer du travail des autres.
Dans notre cas, SE&R est développé de zéro et enseigné par nos soins. Nous n’avons pas d’intermédiaires au risque de déformer la philosophie ou d’avoir un discours différent des investigateurs légitimes.
Le sérieux d’une disciple se compare à un restaurant, plus la carte est longue plus les produits sont artificiels voir mauvais.
Personnellement pour l’écriture de mon livre sur l’écosystème énergétique, j’ai mis presque une année.
Certaines de mes expérimentations ont pris plusieurs mois, voir années pour observer des résultats qui parfois tombent à l’eau.
Une technique de soin énergétique enseignée, ne doit pas modifier un comportement ou une manière de vivre pouvant affecter la vie au quotidien, mais bien au contraire, la rendre plus simple, permettant ainsi de se retrouver et de diminuer sa consommation d’extraordinaire.
Posez des questions !
La chose la plus frustrante lors de nos formations est de constater que beaucoup de personnes ayant réalisé d’autres apprentissages n’ont pas osé poser lors de celles-ci de questions sur les mécanismes de fonctionnements. Elles se sont simplement laissés bercées par le discourt de l’inexplicable ou de l’extraordinaire pour être victime de la peur, de croyances et de manipulations.
Je vous recommande de poser des questions pour savoir comment fonctionne le monde invisible, pour comprendre et maîtriser votre apprentissage.
Soyez au plus proche de la source d’information, ne cherchez pas à faire des petites économies en pensant qu’un intermédiaire peut faire le job.